Occurences de l'expression

sont

pour BARO, Balthazar

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LA PARTHÉNIE (1642)

Ces climats sont pour lui les colonnes d'Hercule : v.10 (Acte 1, scène 1, NEARQUE)
Ne soient plus dans mes mains elles sont dans mon coeur, v.92 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Plus de vos sentiments les siens sont reculés : v.136 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Que ses regards sont doux ! Ô sort capricieux ! v.191 (Acte 1, scène 3, ALEXANDRE)
Deux ans sont expirés depuis l'heure cruelle v.257 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Grand Roi, de vos bontés les charmes sont si grands v.527 (Acte 2, scène 2, HYTASPE)
Ou vos yeux sont menteurs, ou votre âme est contente. v.637 (Acte 2, scène 3, CARINTE)
Sont-ce là des discours dignes d'un Alexandre, v.742 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
Où sont ces actions de vertu consommée v.774 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
À la fureur de Mars sont toutes immolées. v.846 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Si mes fers sont rompus ma parole me lie, v.857 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Déjà de mille noeuds mes bras sont arrêtés, v.892 (Acte 3, scène 3, PARTHÉNIE)
Pourquoi tant de regrets puisqu'ils sont superflus ? v.951 (Acte 3, scène 4, HYTASPE)
Arrachez le bandeau dont ses yeux sont couverts, v.1016 (Acte 4, scène 1, ÉPHESTION)
Les Dieux me sont témoins que ma peine infinie v.1257 (Acte 4, scène 4, LYCANDRE)
Que mes feux sont éteints, que mon âme est guérie, v.1594 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)
Les maux que vous souffrez sont bien près de guérir. v.1599 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)

SAINT EUSTACHE MARTYR (1649)

Placide, ta fortune et l'Empire sont calmes, v.2 (Acte 1, scène 1, TRAJAN)
Ne sont plus qu'un objet d'abondance et de paix. v.16 (Acte 1, scène 1, TRAJAN)
Qu'on les aille quérir. Ils sont grands et si forts v.75 (Acte 1, scène 1, TRAJAN)
Ils sont également contents de leur fortune, v.130 (Acte 1, scène 1, TRAJAN)
Dès qu'ils sont enfermés sous un même Élément, v.387 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Se forme des raisons qui sont impénétrables, v.410 (Acte 2, scène 2, EUSTACHE)
Tes désirs sont les miens, courons la terre et l'onde, v.433 (Acte 2, scène 2, EUSTACHE)
Je vais. Mais Téopiste, ou mes yeux sont trompés, v.439 (Acte 2, scène 2, EUSTACHE)
De même que mes pleurs mes cris sont superflus, v.483 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Pour vous ces faibles corps sont encor trop petits, v.515 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Qui sont tout son trésor comme tout son appui. v.551 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Où sont-ils maintenant ? v.552 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Ils sont auprès de lui. v.552 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Sont deux termes sacrés où personne ne touche, v.573 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Ou s'ils sont quelquefois prononcés par la bouche, v.574 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Puisqu'ils sont parvenus à ce point d'insolence v.634 (Acte 3, scène 2, TRAJAN)
Ses maisons ne sont plus que poussière et que cendre, v.669 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Se sont montrés pour moi plus sensibles que vous. v.708 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Quoi ? Mes fers sont brisés, mes mains n'ont plus d'obstacle, v.789 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
Et quels sont les Tyrans dont les coupables têtes v.977 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Le voyage est rompu, les Tyrans sont à bas. v.980 (Acte 4, scène 2, LA FORTUNE)
Leurs rebelles projets sont allés en fumée, v.982 (Acte 4, scène 2, LA FORTUNE)
Ces discours sont pour moi des témoins superflus, v.1112 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Sont, de gloire et d'amour une source féconde, v.1230 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Sont des objets trop bas pour des voeux légitimes, v.1257 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Nos pompes ne sont plus que des pompes funèbres, v.1350 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Pour empêcher sa mort sont d'assez fortes armes, v.1358 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Ils ne sont pas bien loin qu'on les fasse venir. v.1415 (Acte 5, scène 5, ORMOND)
Ce sont de petits maux dont mon âme se joue, v.1442 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Et ne veux plus de biens s'ils ne sont éternels. v.1512 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)
Pourquoi des pleurs, ils sont hors de saison. v.1531 (Acte 5, scène 6, AGAPITE)
Placide ils sont perdus, s'ils font encore un pas v.1536 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
En effet ces degrés sont des degrés de gloire. v.1557 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Sont emportés au Ciel sue les ailes des Anges. v.1574 (Acte 5, scène 6, ORMOND)

CLARIMONDE (1643)

Sont avecque mon père à sa haine immolés : v.20 (Acte 1, scène 1, CLARIMONDE)
Madame vos malheurs ne sont point sans ressource, v.93 (Acte 1, scène 2, MÉLIDOR)
Sont le prix de ta haine et de tes injustices. v.134 (Acte 1, scène 3, ALMAZAN)
Ses peuples sont vaincus, elle-même est esclave, v.222 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Trois ans sont expirés depuis l'heure fatale v.237 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Tes désirs sont les miens, tu le sais, tu le vois, v.355 (Acte 2, scène 1, CLARIMONDE)
Sa grâce et sa beauté sont de puissantes armes. v.421 (Acte 2, scène 2, ALMAZAN)
Vos yeux sont de mes faits les illustres témoins, v.456 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Aux lâches actions les Tyrans sont appris, v.520 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
On blâme les désirs qui sont désordonnés. v.632 (Acte 2, scène 4, MÉLIDOR)
Enfin, chers Compagnons, mes désirs sont contents, v.748 (Acte 3, scène 3, MÉLIDOR)
L'amour et le respect sont toujours légitimes, v.890 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
Quand ces Astres vivants sont indignes de luire, v.894 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Et comme ses appas sont l'objet de mes voeux, v.1076 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Ils sont de mes désirs les plus justes limites. v.1077 (Acte 4, scène 2, M?LIDOR)
Peut-être ils ne sont plus. v.1185 (Acte 4, scène 3, CLARIMONDE)
À vos contentements toutes choses sont prêtes, v.1361 (Acte 5, scène 1, SOLIMONT)
Puisque par des serments qui ne sont point suspects, v.1419 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Ne sont qu'une chimère aux âmes généreuses, v.1426 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
L'un et l'autre pour moi sont une même chose, v.1581 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Ses gens sont dissipés, ils ont manqué de coeur, v.1640 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
Les pleurs et les regrets sont enfin superflus, v.1688 (Acte 5, scène 8, ALMAZAN)

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LE PRINCE FUGITIF (1649)

De ménager des jours qui nous sont précieux, v.288 (Acte 1, scène 5, ARCHESTRATE)
Il a des qualités qui ne sont pas communes, v.346 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Nos ennemis sont morts, et mon père est vivant, v.424 (Acte 2, scène 3, ARCHESTRATE)
Ne sont pas un butin qu'on doive diviser, v.512 (Acte 2, scène 4, ALCESTE)
Les faveurs sont pour vous, et pour moi les supplices. v.590 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Les peines sont pour moi, pour vous la récompense. v.594 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Ne sont pas un objet digne de mon estime, v.698 (Acte 3, scène 4, PHILOXANDRE)
Ces Princes sont tous seuls dignes de ce langage. v.701 (Acte 3, scène 4, PHILOXANDRE)
Vos yeux ou votre nom se sont fait des autels : v.817 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Peut-être qu'un vainqueur plus digne qu'ils ne sont v.844 (Acte 3, scène 5, ARCHESTRATE)
Et plus fort que ne sont les Princes ni les Rois v.848 (Acte 3, scène 5, ARCHESTRATE)
Ah ! Dieux que mes transports sont injustes et grands : v.981 (Acte 4, scène 2, PHILOXANDRE)
Ils sont auteurs du mal dont ma main est complice, v.1227 (Acte 6, scène 3, ARCHESTRATE)
Séparés comme ils sont du commerce du monde v.1294 (Acte 6, scène , ALCESTE)
Quatre mois sont passés depuis l'heure funeste v.1405 (Acte 6, scène , ACANTE)

LA CLORISE (1634)

Pour élever ce fils, les Dieux m'en sont témoins, v.52 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Sont de cette nouvelle infiniment surpris. v.96 (Acte 1, scène , ÉRASTE)
Et que toujours ses yeux sont arrêtés sur vous. v.139 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Deux contraires sont vus en un même sujet. v.152 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Que pour moi ses rigueurs ne sont plus légitimes, v.161 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Que mes cris sont toutes mes armes, v.214 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Les maux de nos amis sont tous contagieux v.483 (Acte 2, scène , CLORISE)
Toutes mes actions en sont un témoignage, v.529 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Mais pour qui sont ces vers ? v.587 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
S'ils sont pour moi v.587 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
Les Dieux sont-ils méchants ? Tu blasphèmes Berger. v.700 (Acte 2, scène , DORILAS)
Mais afin que les yeux qui sont mes homicides v.742 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Mais que ma plainte est folle, et que mes cris sont vains, v.823 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Elle imite la rage où sont les insensés ? v.836 (Acte 3, scène , CLORISE)
Depuis vos intérêts aux siens se sont mêlés v.1047 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Que nos coeurs sont d'accord aussi bien que nos voix. v.1113 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Puisqu'ils sont faux-témoins, de les mettre en prison. v.1129 (Acte 4, scène , ÉLIANTE)
Au moins, si tes rigueurs ne sont du tout extrêmes v.1134 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Et que de mes désirs les tiens sont limités. v.1193 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Comme à ceux qui sont prêts de m'ouvrir un cercueil. v.1205 (Acte 4, scène , CLORISE)
Si ceux qui comme vous sont absolus sur moi v.1232 (Acte 4, scène , ÉRASTE)
Hélas ! Que nos plaisirs sont de peu de durée, v.1294 (Acte 4, scène , CLORISE)
Ma vie et mon trépas sont en votre pouvoir v.1362 (Acte 4, scène , ALIDOR)
N'accuse mes désirs ils sont trop innocents ; v.1547 (Acte 5, scène , CLORISE)
Nos maux sont accomplis j'en vois l'expérience. v.1733 (Acte 5, scène , NICANDRE)

CÉLINDE (1629)

Déjà les Mortels sont contents, v.7 (Acte 1, scène 1, CHOEUR DE MUSIQUE)
Tes soupçons sont éclaircis, Floridan est coupable, et que dois-tu craindre, puisque rien ne saurait empêcher que tu ne trouves au moins de la gloire à mourir de la main de ce perfide ? (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Nullement, je ne suis pas injuste jusqu'à te vouloir défendre de te justifier, mais demeure d'accord que tu ne peux rien alléguer qui autorise ta perfidie, et que s'il y a quelques Dieux qui la protègent, le Ciel et l'Enfer ne doivent être qu'une même chose, puisque l'un et l'autre sont la demeure des criminels. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Et bien ; puisque le souvenir des larmes dont tes yeux ont mouillé tant de fois mon sein, ni celles que je verse maintenant ne sont capables d'amollir la dureté de ton coeur, change hardiment, et triomphe en même temps de mon amour et de ma vie : tu éprouveras jusqu'à quel point de fureur se peut convertir une patience outragée ; tu sauras que sous le corps d'une fille, je porte un esprit capable de me faire imiter les plus grandes actions que le désespoir ait inspirées à ceux que l'Amour et la fortune n'ont pas mieux traités que moi. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Il faut bien que cela soit ; car enfin tu n'as pas dû manquer de poudre, puisque toutes mes espérances y sont réduites ? (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Page, des sièges ; Madame, mettez-vous à votre aise : désormais notre âge nous prescrit cette nécessité : et je pense que pour nous montrer que nous devrions quelquefois nous lasser de vivre, nos jambes sont les premières qui se lassent de nous soutenir. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Arrache à Jupiter la plus pesante de ses foudres, et réduis en poudre ce corps : mais non, il suffit de tes flammes, elles sont capables de me consommer. (Acte 1, scène 3, CÉLINDE)
Sans lui, qui nous sert de Soleil, nos jours ont un faux nom, et doivent plutôt être appelés des nuits et des ténèbres éternelles : ses ennemis sont les tyrans et les monstres, et nul homme qui fasse état de la société humaine, ne condamnera cette passion qui en est l'unique entretien, et la mère nourrice. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Outre cela, d'où me direz-vous que soient produits tant de transports, tant de désirs déréglés, tant de mouvements incertains, tant de discours qui meurent presque aussitôt dans la bouche, qu'ils sont formés dans le penser ; et enfin, cet effroyable Monstre de Jalousie, si ce n'est de l'amour ? (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Ceux qui aiment pour le profit, ne peuvent rien promettre de la durée de leur amour qu'autant que l'espérance du gain sera suffisante de l'entretenir, et ceux-là sont capables des transports et des inquiétudes dont tu parles, d'autant que leur intérêt n'étant attaché qu'à une chose facile à périr, une éternelle crainte accompagne leur passion. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Les autres qui n'ont que le plaisir pour objet de leur flamme trouvent la fin de leur amour dans la fin de la volupté ; et s'imaginant que les faveurs dont ils se sont assouvis, peuvent être communiquées à quelque autre aussi facilement qu'elles ont été obtenues, ils entrent dans les fureurs de la Jalousie, et ne laissent pas même à la personne aimée la liberté des regards. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Qui connaîtra la valeur et les grâces de Lucidor, ne doutera jamais de la passion de Célinde ; et quand vous ne m'auriez pas fait l'honneur de reposer sur ma fidélité les principaux accidents qui vous sont arrivés, j'aurais toujours tiré de vos chaînes une preuve infaillible de sa captivité. (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Je vois des brouillards devant mon Soleil, dont je crains qu'il se forme un orage qui n'éclate qu'à ma confusion ; la trace de ces larmes, qu'en vain un mouchoir officieux essaie de me cacher, et cette pâleur qui triomphe des roses de son teint, sont les infaillibles marques de quelque malheur advenu. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Et pourquoi ne sont-elles pas assez bien expliquées, par la rougeur qui me monte déjà sur le front ? (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Je veux dire, Madame, que ces preuves d'une médiocre inclination, sont une récompense due à tous ceux dont l'âme desquels votre beauté fera quelques blessures ; mais pour moi de qui la passion a paru dans une recherche, qui ayant été reçue, me promet un triomphe éternel, pardonnez-moi si je dis que la seule parole est une faveur petite, et qu'elle est peut-être moins une marque de votre flamme que de votre froideur. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Maintenant je confesse que tes grâces sont au-dessus de notre mérite, comme ta clémence est au-dessus de nos forfaits : ma joie qui a cela de commun avec la douleur, qu'à peine se peut-elle exprimer que par des larmes, m'oblige à vouer sur tes Autels une éternelle suite de victimes. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Je les ai laissés qu'ils étaient presque achevés d'habiller, je pense qu'ils commenceront bientôt ; cependant prenons les sièges les plus commodes pour les voir avecque attention : entre amis les plus petites cérémonies sont un grand crime, mettez-vous où vous croirez être le mieux. (Acte 3, scène 1, AMINTOR)
Ils sont assez vaincus, et n'importe comment, v.141 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Mes yeux te les diront, ils en sont les témoins : v.230 (Acte V2, scène 3, JUDITH)
Et commande aux soldats qui sont auprès de toi v.241 (Acte V2, scène 3, JUDITH)
Tes désirs sont les siens et son âme captive v.279 (Acte V3, scène , L'EUNUQUE)
Parents, que désormais je nomme barbares, étonnez-vous de votre tyrannie, non pas de mon action : votre violence et mon désespoir sont les meurtriers de Floridan ; et vous éprouvez aujourd'hui combien était injuste la loi par laquelle vous me vouliez contraindre à trahir les flammes de Lucidor : il est mon mari depuis longtemps, et nul homme sans mourir ne pouvait m'empêcher d'être sa femme. (Acte V3, scène 5, CÉLINDE)
Jamais ils ne laissent nos offenses impunies, tôt ou tard le coupable se peut assurer que la colère du Ciel le trouvera sous quelque Asile qu'il se cache ; et quand il couvrirais ses forfaits du silence et des ténèbres, ils ne sont pas moins connus que s'ils avaient été commis à la vue de tout l'Univers : pour les uns ils ont introduit l'usage du tonnerre et des foudres, pour d'autres la peste et les poisons, et pour moi les feux et le fer ; les feux que j'ai rencontrés dans les yeux de Célinde, et le fer dans la fureur de son bras. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Ah que tu me donnes un faux nom, puisque les Dieux sont impassibles, et que je souffre des maux capables de faire naître la pitié dans l'âme des plus barbares. (Acte 4, scène 3, CÉLINDE)
Pour cela, cher ami, je serais bien aise de voir le tien : tous mes sens sont jaloux du privilège de mon ouïe, mais surtout il me semble que mes yeux sollicitent mon imagination, d'inventer un moyen de te voir : il y a longtemps que je fais des efforts pour cela, mais ces barreaux qui se hérissent de pointes, semblent n'avoir de la dureté que pour résister mieux à la violence de mes désirs ; et toi, cher Lucidor, es-tu dans la même contrainte que moi ? (Acte 4, scène 3, CÉLINDE)
Non non, Lucidor, ne crains point que je manque de résolution pour affronter la mort la plus horrible ; et si tu prends la peine de bien étudier les traits qui sont dans mes yeux, tu seras contraint d'avouer qu'il est peu de personnes qui puissent porter dans les misères un coeur plus assuré que le mien. (Acte 4, scène 4, CÉLINDE)
Durant ce temps-là les autres accidents sont survenus, dont je vous ferai le conte si vous voulez venir chez Amintor, à qui je vais faire le rapport de l'état où j'ai trouvé Floridan. (Acte 4, scène 5, FLEURIMON)
Si ma crainte est vraie, et que Floridan soit mort, qui me garantira de la honte que me prépare la Justice d'un Juge que nulle faveur ne corrompit jamais, je tremble à la seule appréhension de son supplice, mes cheveux se hérissent, et mes pas chancelants sont les irréprochables témoins de la faiblesse où je succombe ; ah Célinde ! (Acte 4, scène 6, AMINTOR)
De croire aussi qu'elle put autoriser de quelques excuses l'énormité de sa trahison, c'est une chose que je ne crois pas possible, vu qu'en matière d'homicides et d'assassinats, nos lois sont si justes qu'elles condamnent même les premiers mouvements : et quand bien une si violente fureur pourrait être pardonnée, je remontre qu'en l'action de Célinde cette excuse ne se rencontre pas, puisque Lucidor, avouant d'avoir conseillé cette perfidie, il fait connaître qu'il y a eu de l'espace entre le dessein et l'exécution. (Acte 5, scène 1, DORICE)
Ce n'est pas que je ne confesse d'avoir failli, et que je ne sois prête à souffrir les supplices qui sont préparés à mon crime, mais quand je pense aux maux qui m'étaient inévitables, et que je fais entre eux une comparaison, je ne puis que je ne préfère un prompte mort, à une douleur qui m'eût fait mourir toutes les heures. (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Crois-tu que ce Juge devant qui tu parles, ne sache pas quelles sont les pensées que l'Amour et le Désespoir peuvent inspirer ? (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Et quand il allègue que mon affection n'a été produite que par la force des sortilèges, il a raison, mais il sait bien aussi qu'il n'est point de charme dont il ait usé que celui de son mérite et de sa discrétion : voilà quelle est la Magie, et quels sont les caractères qu'il a mis en usage ; que si tu ne veux perdre cher Lucidor, tout ce que ta persévérance s'est acquis sur mon inclination, ne t'oppose plus au commandement que je te fais, de vivre aussi longtemps que le Ciel te le permettra. (Acte 5, scène 1, C?LINDE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 145 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 24,17 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte V1	Acte V2	Acte V3	Total
1	LA PARTHÉNIE	5	2	6	2	2	0	0	0	0	17
2	SAINT EUSTACHE MARTYR	4	11	4	4	11	0	0	0	0	34
3	CLARIMONDE	5	5	3	3	6	0	0	0	0	22
4	LE PRINCE FUGITIF	1	3	7	1	0	3	0	0	0	15
5	LA CLORISE	6	5	4	8	2	0	0	0	0	25
6	C?LINDE	6	9	1	6	4	0	0	0	1	27
7	CÉLINDE	1	0	0	0	0	0	1	2	1	5
	Total	28	35	25	24	25	3	1	2	2	145